Le pourkoi de lartikl
On me demande assez souvent « komen tafé pour mégrir otan » ???
Du coup, vu que j’ai entendu ça un bon nombre de fois, je me dis que ça intéresse comme sujet, et je suis plutôt convaincu que le moral, la santé, le bien-être ont une influence conséquente sur notre vie, que ce soit personnellement ou professionnellement.
Et vu que c’est un sujet qui revient régulièrement, qui occupe les esprits, et qui du coup, mérite d’être traité.
Allons-y !
Léblocaj
Dans ma vie de tous les jours, je passe beaucoup de temps à apprendre, échanger avec d’autres personnes, et que cela soit un sujet lu quelque part, ou abordé à l’oral à côté de la machine à café, c’est quelque chose que je retrouve assez souvent.
Une certaine envie de changer, de s’imposer un objectif sportif, mais également des blocages liés, que cela soit le boulot, la famille, l’âge, la maladie, nombre sont les blocages mentaux et physiques possibles pour se dire « je ne peux pas ».
keskevouvoulé
Le tout, c’est de se donner les moyens de, une fois que vous êtes sûr de ce que vous désirez. C’est exactement comme pour tout le reste ! La partie la plus rude est de se fixer ce que l’on désire, il n’y a plus qu’à dérouler le tapis et s’y tenir derrière.
J’ai souvent tendance à penser que les blocages n’existent pas réellement, ce sont des contraintes techniques, à prendre en compte ou non, mais au fond, si on sait réellement ce que l’on veut, il n’y a qu’à sauter au dessus des obstacles.
Donc ici, le postulat, est que vous désirez faire un peu plus de sport, et prendre soin de vous.
Aitr mieu ds savi
On a qu’une vie, et elle passe genre super méga vite (cette vilaine), c’est dommage de la gâcher en ayant des regrets et des complexes en tête pendant une bonne partie de celle-ci.
Se sentir bien dans son corps, c’est respirer, se vider l’esprit de soucis, de complexes, de promesses faites à soi-même non tenues, etc.
Je connais un tas de personnes qui vivent sur leurs complexes, qui peuvent en parler à longueur de journée, et qui se brident à cause d’eux, et j’en faisais partie to be honest.
Être bien dans son corps et dans sa tête, c’est la base, le fait d’être mince, musclé, ou peu importe, c’est un détail.
Se donner les mois iens
Mais si ce n’est pas le cas, que vous ne vous sentez pas bien dans votre corps, il est clairement possible d’agir et de jouer sur ça, de commencer par mettre en place des petites actions et de rendre cela possible.
Souvent, le premier levier, c’est de s’accorder du temps, des créneaux pour pratiquer. Cela peut-être un arrangement vis-à-vis de votre profession, est-ce que c’est ok si vous prenez une pause plus longue certains midis, que vous arrivez un petit peu plus tard, voire partez plus tôt ?
J’ai également lu pas mal d’articles sur des personnes qui se lèvent très tôt le matin pour s’accorder ce temps sur leurs vies, comme de se lever à 6h pour faire du yoga, écrire leur journal intime, apprendre, avant de commencer le cycle de travail pour le reste de la journée. Ce qui évite d’être directement la tête dans le boulot.
En soi, rien n’oblige réellement à garder le même rythme, tous les jours, ni de se calquer sur ce que d’autres personnes peuvent faire, ce qui compte c’est de trouver son propre rythme pour en tirer un maximum.
Ché Goood!
Ici, on pratique l’autonomie responsable, vaste sujet !
Mais grosso modo, cela implique de porter soi-même, et pour l’entreprise, ses responsabilités, sans avoir à les faire porter sur un autre, et les horaires ça rentre dedans, libre à vous de venir tôt, de partir tard, de jouer à la console ou d’aller au sport le midi, on vous fait confiance pour tenir vos engagements quels qu’ils soient, vis-à-vis de votre équipe, de Goood!, du client, un peu tout quoi !
Ou ke pratiké le sport
Y’a environ 30 000 sports différents dans le monde (à 2, 3 vaches prêts), et de moyens de pratiquer, pour ma part je suis basé sur Paname City, donc il y a vraiiiment le choix, mais peu importe les villes / villages, il y a toujours moyen de se trouver quelque chose.
Ça peut être aller à la salle de sport, à la piscine, faire du bad, du tennis, du tennis de table ping-pong, du futsal, ou peu importe en fait, le tout c’est de faire quelque chose pour vous, et qui vous fait plaisir, et de s’accorder ce temps sur votre vie.
Lébonsarguments
Et si il y a des complexes vis-à-vis du boulot ou autre, y’a environ 39 847 études qui montrent que le fait de faire du sport augmente la productivité, vous revenez plus décontractés, suite à une activité qui vous fait plaisir et cela permet de souffler et de s’aérer l’esprit.
C’est compliqué d’enchaîner les tâches du boulot, surtout lorsqu’elles sont rébarbatives, et sans s’accorder de moment à soi, c’est encore bien pire /o
Pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir des activités à côté de chez-eux ou de leur boulot, il y a également moulte exercices qu’il est possible de réaliser à la maison.
Grâce à internet, aux vidéos, aux sociétés qui font leur business sur ça (comme freeletics), il y a vraiment de quoi être comblé, à vous les burpees, squats, sit-ups et j’en passe :p
lavan aprè l’etc de cédlic’
Pour ma part, je n’étais pas spécialement malheureux avant, on peut même dénoter le gros smile !
Mais il y avait quand même une certaine gène, un complexe, qui pouvait s’apparenter à de la honte et qui me suivait dans ma vie en permanence.
Je ne pouvais pas pleinement m’exprimer, parce que je me sentais mal, n’étant pas à l’aise avec mon image, je me mettais plus en retrait, j’étais moins sûr de moi.
Grosso modo
Faire 100,80, 60, 20, 140 kilos, ce n’est pas une finalité, ce qui est surtout important c’est de savoir ce que l’on désire, ce qui nous fait plaisir, et de ne pas se bloquer pour le faire.
Et ce n’est pas rare que lorsque l’on pratique une activité mentale assez forte, que ces moments « off » où l’on peut évacuer et relâcher quelque peu l’emprise, apportent bien plus que ce que l’on peut s’imaginer à la base.
Paust skriptum
J’ai environ aucune idée de l’intérêt que peut susciter ou non ce genre d’articles, j’en ferai bien un second sur un sujet connexe (no spoil).
J’aviserai en fonction des retours, ah, l’agilité, quand tu nous tiens.
XoXo,
Cédric,
Troubadour mignon